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  • Qu’est-ce que je soigne avec la Réflexologie ?

    Qu’est-ce que je soigne avec la Réflexologie ?

    On me demande souvent « Est-ce que la réflexologie peut faire quelque chose pour tel trouble ou tel problème de santé que je ressens? » Quoi de mieux que vous partager ce sur quoi nous avons eu des effets, avec les personnes qui sont venues me voir, ces derniers mois?

    Voici quelques exemples :

    • besoin de détente, relaxation
    • grosse fatigue, besoin de régénération
    • paresthésies des orteils
    • douleur chronique des pieds ou jambes, suite à un accident
    • douleur du dos, du ventre (estomac, intestins), douleur généralisée
    • insomnies, cauchemars
    • stress aigu et stress chronique
    • sensation de boule dans la gorge ou boule au ventre permanente

    Et voici quelques retours sur ce que j’ai apporté par mes soins : « grande qualité d’écoute », « bienveillance », « orientation vers les bons spécialistes », « compréhension », « douceur dans le toucher », « réconfort face à un deuil », « nouvelles pistes pour comprendre et soigner mes troubles ».

    Il va de soi que l’équilibre santé-bien-être ne dépend pas que d’un soin, d’un soignant, ni d’une technique ou d’un traitement seul. La santé est une harmonie subtile qui trouve son équilibre dans un ensemble de coopérations, centrées sur chaque individu en particulier. Plus je me forme, plus je comprends que chaque professionnel détient une partie seulement de la compréhension du corps humain et de la vie. C’est pourquoi, je vous inviterai toujours entretenir une bonne alliance avec votre médecin traitant et à rechercher des solutions pluridisciplinaires, pour répondre à vos besoins complexes en santé.

    Confinement Airlines #4 et fin

    Confinement Airlines #4 et fin

    Sur la psychologie positive,je vous recommande cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=yNHalhX2ikkAinsi que le travail de Florence Servan-Shreiber, auteur de 3 kiffs par jour, entre autres, que j’apprécie beaucoup : https://www.florenceservanschreiber.com/outils/la-psychologies-positive/Et les ouvrages d’Isabelle Pailleau sur la psychologie positive avec les enfants et leurs apprentissages, entre autres : https://www.editions-eyrolles.com/Auteur/117601/isabelle-pailleau

    La vue de la table de massage
    Confinement Airlines #3

    Confinement Airlines #3

    Pour ne pas confondre un raz-le-bol avec un trouble relationnel avéré :
    Je vous recommande le livre : Comment gérer les personnalités difficiles, de François Lelord et Christophe André, Éditions Odile Jacob.

    Numéros d’urgence :
    – Cellule d’aide psychologique nationale : 0800 130 000, 24h/24 et 7j/7, numéro vert
    – Les Centres de psychologie Cogito’Z proposent aussi une Hotline psychologique gratuite, ouverte à tous avec le numéro vert 0 805 822 810, ouverte en journée.

    – Pour les victimes de violence : 17, police, 24h/24 et 7j/7, ou numéro d’écoute national 3919, du lundi au samedi de 9h à 19h, vous pouvez vous rendre en pharmacie, pour la mise en place d’une protection police ou gendarmerie
    – Numéro d’appel enfance en danger : 119, 24h/24 et 7j/7, en priorisant les appels d’enfants
    – Le cas échéant, il est enfin possible de joindre le numéro 116 006 de France Victimes.

    J’arrête de râler, livre de Christine Lewicki, aux Éditions Eyrolles, en vente dans toutes les librairies.
    Recevez le kit de démarrage : https://christinelewicki.lpages.co/kit-jarrete-de-raler/
    Retrouvez aussi les autres livres J’arrête de râler : au boulot, sur mes enfants et mon conjoint, l’intégrale … et les ateliers pour les particuliers et les entreprises, sur : https://jarretederaler.com

    Manuel de survie :
    Manuel de survie en milieu naturel, de David Manise, Editions Amphora
    Un livre qui a énormément à nous apprendre pour la vie et la survie, et pas qu’en milieu naturel ! Il remet les priorités en ordre. Et en faisant du transfert, on peut reprendre un certain nombre de principes pour la gestion du travail et des entreprises et la prévention de l’épuisement et du burn-out. Illustrations concrètes dans mes prochaines newsletter : abonnez-vous à ce lien : https://www.marielauredemaegdt.fr
    Mon coup de cœur du moment.
    Présentation en vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=fb9W1llVyxg

    Boîte à outils pour chefs d’entreprises et artisans
    Je vous propose un article et deux vidéos de fond, ainsi qu’un Mastermind spécifiques d’Olivier Demaegdt.
    Angevin, il est entrepreneur, accompagnateur de chefs d’entreprises et coach/formateur en prise de parole.

    Faut-il saisir cette opportunité business ?
    Un article pour y voir plus clair, face à des choix inédits :
    https://www.olivierdemaegdt.com/faut-il-saisir-cette…/…

    Une vidéo sur l’importance d’écouter ses émotions, en tant qu’entrepreneur :
    https://www.linkedin.com/…/odemaegdt_entrepreneurs…/…

    Une vidéo sur la prise de parole auprès de ses équipes, en mode Covid :
    https://www.linkedin.com/…/odemaegdt_prendre-la…/…

    Mastermind pour entrepreneurs, Monte-Carlo, pour sortir du confinement en mouvement :
    https://www.olivierdemaegdt.com/mastermind-monte-carlo/…

    Lettre ouverte aux Uns et aux Zautres sur la capacité d’adaptation

    Lettre ouverte aux Uns et aux Zautres sur la capacité d’adaptation

    Dans notre actualité, et quelque-soit la manière dont nous communiquons, nous voyons fleurir toutes les couleurs de l’adaptation à une contrainte.

    Comparer nos réactions nous est soudainement beaucoup plus facile. En effet, nous menons tous la même expérience de vie, pour une fois, ou presque tous : le confinement.

    L’humanité se retrouve plongée dans une expérience anthropologique sans précédent : nous avons pour ordre de rester chez nous.Face à cette injonction martiale, et citoyenne, on a vu pourtant des comportements très différents de la part des Uns et des Zautres.

    Les Uns ont unanimement choisi d’obéir, le plus rapidement possible.
    Les Zautres, eux, ont pris leur temps.

    Le temps de quoi ?

    De la stupeur ? De l’incompréhension ? Du déni ? De la rébellion ? De la négligence ? Du suicide inconscient ? Le temps d’y croire ? Le temps de se sentir finalement une place parmi les autres ? Le temps de renoncer à se venger de la société qui nous avait oubliée ?

    Oh les Zautres, dans leur quasi-majorité, n’agissent pas contre les Uns. Malgré l’urgence claire à laquelle leur condition les rend étanche et donc dangereux, les Zautres réagissent Zautrement !

    La meilleure, voulez-vous la connaître ? C’est que toutes ces réactions, de l’obéissance civile aux extrêmes inverses, nous unissent, en fait, dans le déroulement d’un même processus, issu des tréfonds de la préhistoire : notre capacité d’adaptation.

    Quelque-soient les réactions primaires réflexes, qui sont les nôtres, à titre individuel, elles sont la première étape d’un processus interne à chacun, qui doit être vécu pas à pas, pour arriver à une résilience, un nouvel équilibre dynamique. Cet équilibre que recherche tout organisme humain : une homéostasie psychique et somatique, qu’on dit, dans les milieux avertis.

    A vrai dire, cette capacité d’adaptation est notre plus grand espoir et notre plus gros risque. Ca passe ou ça casse. Si ça passe, on s’adapte et on passe à autre chose. Si ça casse, on s’enlise dans le trouble, la maladie ou pire que tout, dans le choc post-traumatique psychique.

    Cela, nous l’ignorons majoritairement, faute d’enseignement et parce que nous sommes dotés de ce super pouvoir depuis la naissance, ce qui n’aide pas la prise de conscience.

    Seuls ceux qui se sont toujours senti inadaptés ont eu la grâce de le découvrir, au fil de leur vie : les bizarres, les bancales, les déficients, les dys, les haut potentiel, les porteurs de handicap, les malformés, les gens « différents » et qui en souffrent. Ils ont vécu la peine de ne pas rentrer dans leur case proposée. Ils ont éprouvé la douleur d’être rejeté, tout ou partie, de ne pas coller avec le décor, et de ne pas être naturellement inclus dans le projet collectif.

    Est-ce la planète qui en avait assez ou une force universelle qui brulait de rétablir la justice ? L’expérience du Covid-19 est impartiale, maintenant, tous, autant qu’on est sur la planète, on doit s’adapter ! Et on est tous reliés, qu’on le veuille ou non. C’est clair ?

    Ok, admettons se disent les Uns et les Zautres! Mais savons-nous ce qu’est la capacité d’adaptation ? Comment utiliser ce talent naturel qui a fait de l’homme l’espèce animale la plus adaptée ? Suadaptée, même, puisque nous arrivons à adapter notre environnement à nous, là où « les autres » du règne animal, s’en accommodent.

    Ma foi, je crains que cette matière n’ait point encore été proposée dans le programme pédagogique de la nation. Dommage ! Parce que si nous ne penchons pas d’urgence sur cette connaissance de notre façon de fonctionner, nous nous exposons à des risques pour notre santé mentale et à des pertes lourdes à titre individuel et collectif, en matière, socio-économique, sanitaire, psycho-affective…

    Chérissons ce trésor en nous qu’est la capacité d’adaptation et apprenons à la découvrir. Remettons de la connaissance dans notre expérience collective. Et qu’on ne me dise pas que c’est nouveau ou qu’on ne trouve rien sur le sujet. Platon, il y a 2500 ans disait déjà « Connais-toi, toi même. »

    Ben oui, mais je sais, Platon est un vieux crouton et les vieux, on ne les écoute plus. Quelle prétention juvénile de penser que le passé ne peut pas nous éclairer pour l’avenir !

    Nous pouvons utiliser les savoirs impérissables pour capitaliser en sagesse, comme on capitalise en bourse. Faisons du travail sur notre capacité d’adaptation individuelle une mode et puis on y prendra peut-être goût, pour en faire un basique. Si seulement nous pouvions tous en faire une priorité, sans attendre. La capacité de Réaction, vitale, à l’heure actuelle, appelle sa grande sœur, l’Adaptation, qui, elle, regarde déjà l’après.

    S’il ne fait pas appel qu’il faut rester confinés aujourd’hui, et qu’il faut suivre les directives des dirigeants du présent, il nous faut simultanément nous préparer, à titre individuel, à vivre notre avenir. Car arrivera le jour de nous adapter au déconfinement les Uns et les Zautres.

    Dans notre actualité, et quelque-soit la manière dont nous communiquons, nous voyons fleurir toutes les couleurs de l’adaptation à une contrainte.

    Comparer nos réactions nous est soudainement beaucoup plus facile. En effet, nous menons tous la même expérience de vie, pour une fois, ou presque tous : le confinement.

    L’humanité se retrouve plongée dans une expérience anthropologique sans précédent : nous avons pour ordre de rester chez nous.

    Face à cette injonction martiale, et citoyenne, on a vu pourtant des comportements très différents de la part des Uns et des Zautres.

    Les Uns ont unanimement choisi d’obéir, le plus rapidement possible.

    Les Zautres, eux, ont pris leur temps.

    5 idées pour des fêtes de fin d’année sans s’épuiser

    5 idées pour des fêtes de fin d’année sans s’épuiser

    Selon mon expérience avec les personnes que je rencontre en rendez-vous réflexologie plantaire Angers, Beaucouzé.

    Comment faire pour profiter de ces belles occasions de festoyer que nous offrent les fêtes de fin d’année, sans tomber dans la fatigue et le stress ?

    1. Identifiez d’abord le sens de ces fêtes pour vous

    Pour pouvoir vivre les événements de nos vies, nous avons besoins de leur donner du sens et un sens : une signification et une direction.

    Alors pour bien vivre la période de fin d’année et ne pas avoir l’impression d’être porté par le mouvement des autres ou dépassé par les événements, il est nécessaire de chercher en nous ce qui fait sens.

    Si nous ne faisons pas ce travail d’introspection, nous pouvons ressentir ces fêtes comme une contrainte extérieure, une injonction de plus à se réjouir sur commande ou à consommer à outrance.

    Les questions sur lesquelles on peut se consacrer quelques minutes, et noter les réponses pour y revenir dans la période, pourraient être :

    – Que signifie Noël – ou Hannouka – pour moi ? Et le Nouvel an ?

    – Qu’est-ce que la période des fêtes de fin d’année représente de positif, à mon sens?

    – Vers quoi est-ce que je souhaite que toute cette période me conduise ? Quel est mon besoin ? Mon objectif ? Mon élan ?

    – Est-ce que j’ai des freins, des peurs, des limites à poser pour moi ou par rapport aux autres?

    2. Ne vous mettez pas la pression, discernez ce qui se joue pour vous et pour les autres

    Cette période est un point culminant de notre vie en société. C’est un temps où on se regroupe, plus encore que le reste de l’année.

    Cela peut revêtir un certain nombre de difficultés. Parfois parce que l’on est plutôt seul et que même si on aspire à être avec d’autres, on ne se sent pas en proximité, en connivence. Parfois parce que les relations du groupe social dans lequel on est (famille, amis, …) ne sont pas cordiales et exigent un effort d’adaptation démesuré.

    Ne nous mettons pas la pression. Et si nous choisissons de faire des efforts, soyons bienveillants avec nous-mêmes.

    Si vous êtes la personne qui se plie en quatre tous les ans pour accueillir tout le monde sans recevoir jamais de gratitude en retour, levez le pied. Osez être plus juste et respectueux avec vous-même. N’arrêtez pas forcément tout, mais faites moins et demander à être relayé, soutenu et exprimez votre besoin de reconnaissance. Soyez au moins reconnaissant avec vous même, si ça ne peut pas venir des autres.

    Ces fêtes peuvent être aussi une merveilleuse occasion d’expérimenter un principe de développement personnel que vous avez lu dans un livre.Vous pouvez aussi en profiter pour avancer avec encore plus de justesse sur un domaine en particulier dans votre relation aux autres. Qu’elles ne soient pas à la hauteur de vos espérances ou qu’elles le soient. Car quand tout va bien, on peut aussi faire grandir en nous quelque chose qui nous nourrit.

    Quelques questions à se poser :

    – Dans ce que ces fêtes offrent à vivre, qu’est-ce qui me parle ?

    – De quoi j’ai envie et de quoi je n’ai pas envie ?

    – Qu’est-ce que j’aimerais ne pas vivre et qui risque d’arriver ? Comment je peux me protéger ?

    – Est-ce que je peux me donner un objectif de ressourcement ou de croissance pour ma vie, quelque chose que j’aimerais essayer pour me sentir encore mieux ?

    3. Autorisez-vous à faire peu, en savourant ce qui se vit

    Profitons des occasions d’émerveillement de cette période. Ne les rejetons pas. Les lumières, l’opulence des repas et des biens de consommation peuvent nous apporter un sentiment de joie, de sécurité, une confiance dans les ressources dont nous disposons collectivement.

    Et pour autant, discernons ce qui se vit ensemble de ce qui se vit individuellement. Par exemple, si votre ville ou village vous permet de profiter de décorations lumineuses inspirantes, prenez le temps de les contempler plutôt que d’en remplir votre jardin individuel. Faisons du « co-luminage », comme nous faisons du covoiturage !

    Ne rejetons pas les occasions de nous réjouir collectivement. Discernons pourtant avec simplicité l’abondance de la surabondance. Et choisissons, pour la planète, pour la solidarité et pour notre sérénité intérieure, une sobriété heureuse.

    De même, un repas ou une table de fête peuvent être profondément ressourçant, sans forcément être surchargés. Un dessin d’enfant, un centre de table bricolé par un grand-père ou tout simplement un prénom sur un marque place, peuvent apporter une plus grande profondeur à la table, qu’une pile de sous-assiettes et de sur-nappes.

    Quelques questions à se poser :

    – Si rien n’était vraiment indispensable, qu’est-ce que j’aimerais quand même faire, par plaisir?

    – Et si prendre soin de chacun, c’était préparer une place à chacun. Est-ce que je pourrais partager les rôles, pour participer à une fête ensemble ?

    – Qu’est-ce que je préfère vraiment dans cette période ? Comment ne pas passer à côté ?

    4. Utilisez des listes de tâches à effectuer justes et claires

    Sur feuille libre ou avec un tableur sur l’ordinateur, sur un « kanban » partagé sur internet,… choisissez un moyen de faire des listes de ce que vous devez faire.

    Par exemple, si vous avez un certain nombre de cadeaux à offrir, faite un tableau avec 5 colonnes : la liste des personnes, la liste des idées ou des cadeaux choisis, cochez quand vous avez trouvé, dans une nouvelle colonne, puis dans une dernière, cochez quand le cadeau est emballé, prêt à offrir.

    Pour l’organisation de la fête chez vous, le départ chez d’autres ou la participation à un événement, faites la liste de ce à quoi vous devez réfléchir, et ce que vous avez à faire concrètement. Puis essayez de l’étaler dans le temps, dans votre agenda (au crayon effaçable, pour permettre d’adapter au fur et à mesure) ou en créant un planning dans un tableau.

    N’hésitez pas à déléguer à l’avance tout ce qui peut l’être ou à prévoir une répartition des tâches pour le jour J. Ce jour là, ça peut être, à la carte, le moment venu, ou nominative, prévu d’avance.

    Ne cherchez pas à être perfectionniste. Vous allez vous épuiser et fatiguer tout le monde.

    Vous pouvez atteindre un certain standing dans ce que vous mettez en place, fêtes exceptionnelles oblige. Cependant n’en faites pas une galère pour vous et les autres et n’oubliez pas le sens que vous donnez à tout ça. Ca doit toujours rester votre priorité. Souvent le fond prime sur la forme.

    A contrario, « c’est celui qui fait qui a raison ». Chacun sa façon de faire et du moment que l’on fait ce que l’on peut, chacun doit se sentir libre de la manière.

    Ne vous laissez pas critiquer, affirmez-vous avec bienveillance le cas échéant. Pour reprendre l’adage, « c’est toujours plus facile de voir la paille dans l’œil de l’autre que la poutre dans le nôtre ».

    Questions à se poser :

    – Qu’y a t’il à faire?

    – Qu’est-ce qui est vraiment important ?

    – Qu’est-ce qui est le plus urgent ? Et qu’est-ce qui n’est pas prioritaire ?

    – Est-ce que je peux m’appuyer sur d’autres ? Si oui, qui ? Et comment ? Si non, est-ce que je choisis de demander quand même ou d’en faire faire moins ?

    5. Planifiez à l’avance des pauses (quitte à les déplacer) pour vous détendre

    Adoptez la minute d’arrêt ! Cette attitude sécuritaire infirmière consiste à faire une pause consciente, « vider sa tête », et se reconcentrer pour revenir à ce que l’on faisait, quand on a été interrompu ou qu’on s’est déconcentré.

    Respirez lentement et en profondeur régulièrement. Posez vos pieds au sol et faite un exercice d’ancrage (ressentez les parties de votre corps pour revenir à vous, puis vos appuis au sol).

    Et tout au long de la période, faites des pauses. Arrêtez de « faire » pour vous sentir « être ».

    Émerveillez-vous. Connectez-vous à vos rêves, vos espérances, vos élans. Relisez le sens que tout cela revêt pour vous. Réjouissez-vous de ce que vous avez déjà fait. Bravo ! Vous avez posé ces pas sur le chemin de ce que vous voulez vivre.

    Si vous aimez vous challenger et que vous ne vous arrêtez pas souvent pour prendre soin de vous, regardez le chemin qui reste à parcourir d’ici la fin de l’année et discernez vos besoins pour être satisfaits à cette période-là. Nous sommes tous différents et nous ne nous épuisons pas tous à la période des fêtes. Faites ce qui est juste pour vous.

    Une chose est sûre, vous aurez moins de chances de passer à côté de ce qu’il y a de beau à vivre, si vous prenez le temps de regarder ce que vous vivez. Alors, peut-être, ralentissez et utilisez vos 5 sens et votre ressenti intérieur.

    Quelques questions utiles :

    – Qu’est-ce que j’aime faire pour me ressourcer, en cette saison ?

    – Est-ce qu’il y a une musique que j’aime et que je peux écouter en faisant autre chose ? Est-ce que je peux imprimer une photo, un tableau ou un visuel qui me donne de l’inspiration, de l’énergie et le placer dans un endroit où je le verrai souvent ?

    – Est-ce que certains goûts ou certaines odeurs m’apportent de la douceur en cette période ?

    – Y a t’il des matières douces ou chaleureuses, avec lesquelles j’ai envie d’être en contact (une couverture polaire, des chaussons en pilou pilou ; ) ou bien est-ce que je peux me faire un automassage ou me faire chouchouter par quelqu’un d’autre pour me détendre et me ressourcer ?

    Dans cette période de fin d’année, les calendriers de l’avent fleurissent. Et si vous prépariez le vôtre avec les pensées inspirantes, positives et des attentions particulières à vous apporter à vous-même ?

    On ne donne que ce que l’on a. Alors je vous souhaite d’avoir des réservoirs de sérénité, de paix, d’amitié, d’amour, de joie, pleins pendant tout l’avent pour pouvoir donner généreusement autour de vous.

    La vue de la table de massage